17 juillet 2010

Walk the line

Ce film est tombé à pic.
Une merveille.
La musique comme elle se fait rare désormais. Une époque de découvertes épatantes. Une bande originale fabuleuse.
Une histoire vraie.
Les amants éternels.

Et, comme à chaque fois, je suis retombée amoureuse de Joaquin Phoenix.
Ses yeux noirs de douleur et de sensibilité.
Sa gueule cassée, sa voix grave, son allure.
T.y.p.i.q.u.e.m.e.n.t mon genre.

Mièvrerie aux chiottes. Cet acteur est juste brillantissime.
Beau, singulier, un visage que l'on n'oublie pas. Dans chacun de ses rôles, un Nom.
Ses habits noirs.

" Avec vos vêtements noirs, c'est comme si vous vous rendiez à un enterrement."
" C'est peut-être le cas."

Son élue. Cela tombe bien, je l'aime aussi énormément.
Une originaire des U.S.A, actrice sollicitée, belle en son genre, qui sort du lot des potiches à productions niaises. Reese Witherspoon qui m'avait séduite, à l'age des mes 13ans, dans Freeway, tandis que le film m'avait marquée pour plusieurs années, puisque je me souviens avoir eu peur, encore aujourd'hui. Je devrais le revoir, tiens. Savoir ce qu'il en serait maintenant.
Puis, Sexes intentions, American psycho, Fear. Tant de bandes vidéos qui ont rythmé, à répétitions, plusieurs moments de ma vie.

Mais. Quel duo de choc. Quelle belle histoire.
Celle de Johnny Cash.

A ne pas rater, amis lecteurs.
A n'importe quel moment de la journée ou de la nuit, il enjolive l'écoute, il sème des sourires, fait battre le rythme, et, comme tous les bons films, donne un autre sens à la vie, l'espace d'un temps certain. Le temps de le voir. De le savourer. D'y repenser.

Bonne nuit.